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Aides aux recherches

 

 

Aides aux recherches

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 L’enfant cherchant à comprendre ce que son correspondant lui a écrit, ou un article de journal, ou ce qui vient dans la vie de la classe ou dans la sienne, doit pouvoir se référer à des écrits qu’il connait : ses outils.


Livre de vie
Tout ce qui peut faire référence à l’enfant est collé dans le livre de vie : les textes libres écrits par les copains et étudiés par la classe, histoires fabriquées, chansons, poèmes, recettes, courriers, comptes-rendus divers, écrits rencontrés lors des sorties de découverte du milieu, écrits mathématiques etc. Il le personnalise par ses illustrations et ses écrits. Il est donc libre de ses choix.
Ainsi, la vie de la classe et de l’enfant, événements comme vie courante, est mémorisée, et peut être relue même quelques années plus tard. C’est une culture de l’enfant qui se crée, participant à celle de la classe, symbolisée par le Livre de vie de la classe.
L’enfant peut aussi y retrouver l’orthographe d’une expression, d’un mot, c’est un de ses outils pour apprendre à écrire.
Le livre de vie peut se présenter sous forme d’un cahier 24x32 dans lequel on collera des feuilles. Cependant, pour éviter de gâcher les feuilles du cahier, on peut assembler au fur et à mesure des feuilles perforées reliées par des attaches parisiennes et protégées par une feuille cartonnée. Ce qui est plus proche de l’aspect matériel d’un livre, et permet de choisir le format.

Affiches de référence à la lecture
Les textes mis au point par la classe chaque semaine sont affichés au fur et à mesure et servent ainsi de références collectives. Un point de couleur rappelle la couleur des étiquettes correspondantes.
Les enfants peuvent ainsi se montrer telle ou telle partie de phrase pour l’utiliser dans un autre texte et contexte. Cela permet que des groupes de travail, spontanés ou non, se fassent.

Dès qu’un « C’est comme » est repéré par un enfant et validé par l’adulte, il est écrit sur une affiche. Quand trois ou quatre mots contenant la petite unité ont été trouvés, le « C’est comme » est saisi à l’ordinateur et affiché, chaque enfant en reçoit un exemplaire pour son cahier de « C’est comme »
Les « C’est comme » sont aussi affichés puis enrichis d’autres mots tout au long de l’année suivant le rythme d’acquisition de chaque enfant.
Toutes les remarques sont écrites sur affiches. Les enfants ont ainsi voulu garder les mots qui ont des lettres qu’on n’entend pas à la fin. Puis, cette affiche devenant trop petite, il a fallu trouver d’autres classifications : pluriels, féminin, famille de mots, etc.

 

Cahier de « C’est comme »
Chaque enfant a un cahier de « C’est comme ». Il peut ajouter au crayon à papier de nouveaux mots qui contiennent l’unité plus petite. Par exemple, après coup et cousin, il peut écrire : couteau, beaucoup … et le fait valider par l’enseignant ou un enfant qui a le brevet correspondant.
La vingtaine de « C’est comme » nécessaires à l’apprentissage de la lecture peut ainsi s’accumuler. Il n’est souvent pas nécessaire d’écrire autant d’inférences pour que les enfants les fassent d’eux-mêmes et continuent dans leur tête le travail d’apprentissage des correspondances phono-graphologiques. Ils ont intégré le principe alphabétique.

« Chouette, j’écris »
C’est un répertoire de mots classés par son. Par exemple, tous les mots qui commencent par [ k] sont rangés ensemble, qu’ils commencent par la lettre c, k, q, ou ch. Pour trouver un mot l’enfant cherche le son d’attaque, puis, grâce à cet outil, constate par quelle lettre il commence en allant dans la page correspondante.
« Chouette, j’écris » ed PEMF

Le cahier d’écrivain

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